Brain is the new sexy, hein Sherlock !

Sherlock-BBC

Pour continuer sur une note britannique après Sweeney Todd (oui, je sais que ce musical a été composé par un Américain mais ça se passe à Londres and there’s no place like London) j’ai envie soudain de (re)plonger dans mon canapé pour (re)visionner les 3 saisons de Sherlock.

Le point commun entre les deux sujets, outre le fait que cela se passe à Londres and there’s no place like London, il y a cette ambiance particulière, propre à ce qui est britannique à savoir une touche d’humour toujours subtile, parfois vache mais qui fait mouche à chaque fois et qui me donne l’impression d’être intelligente et d’avoir du wit, de l’esprit quoi.

Et de l’esprit Sherlock en a, plutôt deux fois qu’une, qu’il accompagne toujours d’une certaine arrogance mais y a pas à dire « Brain is the new sexy ». (Sauras-tu retrouver l’épisode où l’on entend cette phrase ?) Benedict Cumberbatch, drôle de nom et drôle de tête mais une voix à la Alan Rickman à tomber, hum donc Benedict Cumberbatch est ce Sherlock revisité, terriblement crédible et impeccable dans le rôle du détective-consultant qui a toujours des kilomètres d’avance sur les autres et qui a du mal à admettre que les autres ne soient pas aussi rapides. Mais Sherlock ne serait pas aussi bon sans Watson, interprété par Martin Freeman pour qui j’ai une tendresse particulière depuis The Office et Love Actually. Il donne toujours l’impression d’être un peu à côté de la plaque ou dans la lune mais j’adore la justesse de son jeu.

En attendant de découvrir la quatrième saison, je vais donc écouter la voix de Sherlock (V.O obligatoire) et boire my cup of tea.

There’s no guy like Sherlock.

 Crédit photos : BBC